ASPECT PHYSIQUE: Contrairement a ce que l'on peut penser, Andy se voit comme quelqu'un de repoussant. Durant toute son enfance il n'a jamais su s'y prendre assez bien avec les filles pour que ces dernières succombent à son charme... Malgré son regard ténébreux, son corps relativement svelte et plaisant, ses cheveux si épais qu'on pourrait facilement les confondre avec ceux d'une femme et son teint presque translucide, le jeune homme ne parvient pas à obtenir la femme qu'il souhaite réellement. CARACTÈRE : D’un naturel ingénieux et introverti, Andrews se prête néanmoins avec beaucoup de plaisir au jeu de la séduction. Il en a d’ailleurs fait les frais il y a quelques temps avec une dénommée Deliah. D’après lui, si l’on met de côté la raison « géographique » de leur rupture, tout est sa faute. Il pense s’être montré trop présent, trop suspicieux et trop dévoué… Ce qui aurait pu faire fuir la jeune femme. Voué à être un mâle plus ou moins soumis, Andy sait tout de même se montrer ferme et taper du point quand il le faut. Les rares moments qu’il passait avec son père, il entendait constamment « ne te laisse jamais marcher sur les pieds mon grand, à plus forte raison si l’on s’en prend à des gens que tu aimes ! », et à force d’entendre ça… Il s’exécute.
PHOBIES: La plus grande, terrifiante phobie qu’Andrews a, c’est celle de voir des collègues de son père venir leur annoncer à sa mère et lui, que ce dernier est décédé. MANIES: Outre le fait de se passer régulièrement la main dans les cheveux, Andy ne peut sortir sans sa paire de lunette de soleil. Il se retrouve également très souvent avec une cigarette camouflée derrière l’oreille... Probablement un tic d'adolescent.
THE HISTORY OF MY LIFE
HISTOIRE: De par son enfance et sa situation familiale, Andy c’est vu devenir un homme sans l’aide de l’exemple paternel. Effectivement, le métier de son père l’empêchant de répondre « présent » au sein de son foyer, le petit garçon qu’il était alors a apprit à prendre lui-même ses repères. L’absence constante du patriarche l’a en un sens aidé. Il a malgré tout grandit sereinement… Sans cumuler trop d’erreurs. Sa mère, jadis enseignante, était à ses côtés jour après jour. Tous les deux entretenaient une relation proche du fusionnel. Quoi qu’il ai pu faire, dire ou penser, elle ne dérogée jamais à sa propre règle : le soutenir. Fort de ces conseils, le petit Andy est devenu grand et à présent c’est lui qui se prend en charge. Adieu le linge plié et lavé par maman, adieu le repas prêt quand on rentre à la maison ! Tout ça est bel et bien terminé, il est à présent un homme. Et quel homme ! Je vous prie de croire que sa vie est tout sauf simple. Après avoir vécu une histoire des plus plaisantes avec une certain Deliah, Andrews c’est vu contraint de l’oublier… Tout ça au dépend de son propre bonheur. C’est donc avec énormément d’hésitation qu’il a franchit le pas avec sa fiancée, Hazel. Bien que cette fille soit belle, adorable et aimante, il ne peut faire cesser le flot de pensées qui vont vers Deliah. Il ne sait pas s’il l’aime, il ne sait pas comment il réagirait si jamais elle se présentait à nouveau à lui… Mais une chose est sûre, il est amoureux de leur histoire passée.
MES PARENTS: Son père, Jake travaille au F.B.I., sa mère Tryshia est enseignante dans une école primaire.
MES FRÈRES & SŒURS: Andrews est fils unique.
WHAT I AM BEHIND THE SCREEN ?
TON PRÉNOM/PSEUDO: Mystère =) TON AGE: 22 ans TON ACTIVITÉ: ?
QUE PENSES-TU DU FORUM ?: Pour le moment, il m’a l’air sympa. OU AS-TU CONNU LE FORUM: J’ai étais harcelé par Lullaby =P DES SUGGESTIONS ?: Pas pour l’instant. POURQUOI VOUS ETES VOUS INSCRIRE ?: Lire plus haut =D EXEMPLE DE RP:
Spoiler:
Dès la seconde ou j’ai éteins mon ordinateur, mon cerveau c’est mit à fantasmer sur ce qui venait de se produire. A un certain moment Kristen m’envoie chier comme le dernier des crétins, et l’instant d’après elle se confond en excuses et m’avoue ressentir des choses à mon encontre. Contrairement à ce que j’avais pu imaginer au fin fond de mon subconscient, cet aveux ne c’était pas déroulé de la manière dont je le désirais. Il c’était fait par le net, autrement dit c’était très impersonnel… Froid et distant ! J’avais donc couper court à cette conversation et lui avait proposé de passer, chose qu’elle accepta aussitôt. Mon soulagement était omniprésent, enfin il l’était jusqu’à ce que je prenne ma voiture et me dirige en direction de sa maison… Parce que là, je ne le nie pas, je commence sérieusement à m’affoler et me poser tout un tas de question. Va-t-elle assumer ses révélations ? Souhaite-t-elle réellement être avec moi ? Parce que pour moi tout était très clair : je l’aimais depuis un bon bout de temps maintenant, et je suis prêt à beaucoup de choses pour l’avoir à mes côtés.
Alors que j’arrive au dernier carrefour, je sens mes entrailles se nouer pour finir par m’empêcher de respirer convenablement. La pression que je ressens alors, ne m’aide pas – mais alors pas du tout – à y voir clair. Qu’est-ce que je vais lui dire ? Qu’est-ce que je vais faire ? Ce moment, celui-là même que j’attendais depuis des mois entiers est enfin arrivé ! Mais je n’ai jamais réellement songé à la façon dont j’allais m’y prendre… Malgré le stress qui s’empare peu à peu de moi, je fais preuve d’un calme olympien en garant ma voiture dans l’allée. Je marche ensuite en direction de sa porte et émet quelques coups contre cette dernière. Je patiente quelques secondes et entends la poignée se tourner, mon cœur palpite et demeure amoureux. C’est alors que je l’aperçois, elle n’a aucun accessoire pour paraître superficielle, et c’est ce qui me plait le plus en elle : son naturel. Elle est sublime, même en peignoir ! Je la vois me sourire, je lui rend la pareille et pénètre à l’intérieur. Une chose me frappe cependant, son regard furtif qui se balade à l’extérieur de la maison… Je sais à qui il est destiné – les paparazzis – mais cela me perturbe un peu. Craint-elle à ce point d’être vu en ma compagnie ? Peu importe… Elle me demande si je vais bien, je m’empresse donc de lui répondre.
« Je pense que c’est plutôt à moi de poser cette question, non ? »
Un sourire cassé ponctue ma question. Oui, je m’intéresse à elle et veux savoir si elle se sent bien… Est-ce déplacé ? J’en doute.